2023/2024 _ saison #13
2022/2023 _ saison #12
2021/2022 _ saison #11
2020/2021 _ saison #10 (confinée)
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2019/2020 _ saison #9 [© Bertrand Mayeux]
#9.1 Rodolphe Dekowski, 17 octobre
Tout l’univers
C’est la rencontre d’un comédien, Rodolphe Dekowski, et d’un plasticien, Samuel Buckman, autour de dix de ses poèmes mettant aux prises un enfant, un beau-père teigneux, une mère absente et la gendarmerie. Dans la bibliothèque de la maison, il n’y a qu’un livre, c’est l’encyclopédie Tout l’univers.
#9.2 Romina Villar, 14 novembre
Vie quotidienne et travail en chantier : les grandes idées de nos petites vies
#9.3 Nicolas Rivals, 19 décembre
Je veux une vie en forme d’arête
2020, année du centenaire de la naissance de Boris Vian. Avec Freddy Charlou et Vincent Poirier, je profiterai de la carte blanche qui m’est donnée pour remettre notre ouvrage sur le métier et mettre en oeuvre une version plus courte et plus dense de notre cabaret Boris Vian. L’occasion le temps d’une soirée d’entendre ou de réentendre les poèmes et douze chansons de Boris Vian.
#9.4 Alice Sibbille, 16 janvier
Chronique d’un hashtag
Une émission-fiction pour dire nos regards sur le monde, pour faire parler la jeunesse et les femmes. Il y a eu l’affaire Weinstein et puis #Metoo. Deux ans après, l’affaire n’est pas oubliée. Je me souviens alors de la phrase de Simone de Beauvoir : « Noubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devez rester vigilantes votre vie durant. » Et je pense à cette jeunesse au poing levé et à la parole libre, libre et pleine de hashtag… Comme une nouvelle langue.
#9.5 Vincent Poirier, 13 février
Toucher les ombres
Manuel Vilas a perdu ses parents coup sur coup. Cet auteur espagnol en parle avec beaucoup d’émotion dans son récit autobiographique qu’il a nommé Ordesa. Pour cette carte blanche, je m’appuierai sur ce texte pour raconter les fantômes de nos passés. Ce souvenir des parents et des proches qui, parfois, nous quittent brutalement. Que nous reste-t-il de leurs histoires et de leurs passages ?
#9.6 Isabelle Quantin, 12 mars
Allez vous faire
Rien ne va plus dans sa vie : l’amour, le boulot, la famille, l’amitié. Elle n’a plus rien à perdre et c’est bien cela qui pourrait la perdre. Une femme sans plus aucune attache, perverse, cynique, dépravée, sans idéal, et qui ne peut même pas se dire féministe. Une femme moderne, drôle et désespérée, qui tient un café pour cochon d’Inde en faillite et mène sa vie amoureuse comme ça vient, sans filtre aucun.
#9.7 Pauline & Amélie Madeline, 2 avril – REPORTÉE le 11 février 2021
#9.8 Nel’Son, 7 mai – REPORTÉE le 1er octobre 2020
2018/2019 _ saison #8 [© Martin-Oger Daguerre]
#8.1 _ annulée
#8.2 Olivier Bourguignon, 29 novembre
avec Rodolphe Dekowski
La vie est tragique, absurde et hilarante. Qu’est ce qui fait que nous vivons ce que nous vivons ? D’où cela vient ? Et à quoi cela tient ? Nous rencontrerons des chutes vertigineuses mais aussi des fureurs de vivre. « Je chie sur l’ordre du monde, je suis perdu. » Bertolt Brecht
#8.3 Isabelle Quantin, 20 décembre
avec Louiza Bentoumi, Ferdinand Chenot, Bérénice Levallois, Vincent Poirier
Je l’ai rêvé, je l’ai lu, je l’ai écrit, puis partagé, et ré-écrit. Alice est dans un pays, le sien, celui qu’elle s’est construit. Il est étonnant, et son chemin pour l’appréhender en devient initiatique. Alice est aujourd’hui une jeune fille de 17 ans. Elle tente de devenir une jeune femme, tant qu’à faire dont elle pourrait être fière.
#8.4 Nathanaël Frérot, 31 janvier
Cerceau Cerveau Cerceau
Une soirée à trois temps, entre arts plastiques et théâtre. D’abord on boira un verre en regardant des peintures. Ensuite, ces oeuvres d’art deviendront le décor d’une lecture d’extraits de Nous nous reverrons vivants, mon premier roman à peine achevé. Enfin, nous partagerons les premiers mots, les balbutiements de Toute ressemblance avec des situations, écriture en cours pour le théâtre.
#8.5 Camille Regnault, 14 mars
Ouesterne
Pirou, Normandie. Disons qu’il y a quelques décennies de ça, une cavalière solitaire a débarqué avec un lourd secret. Disons que vivaient là une taulière pas commode, un fermier taiseux, des joueurs de cartes, un prétendu shérif. Disons que pour se faire accepter, l’étrangère leur a raconté son histoire. Une conteuse et un musicien retracent pour vous le déroulement des faits : un parcours initiatique au cours duquel la vie s’invente à la mesure des rêves.
#8.6 Maxime Gosselin, 4 avril
L’Amer monte
Comment sera notre vie quotidienne dans un monde où l’eau et le pétrole se raréfient, où les ouragans et les incendies sont monnaie courante et avec des infrastructures et des institutions qui se détériorent ? Demain est à inventer, et il se pourrait bien que le bagage scientifique et philosophique de notre civilisation nous amène à construire une société faite d’entraide, de respect et d’altruisme.
#8.7 Nicolas Rivals, 25 avril
Lire et découvrir
Les cartes blanches souslespylônes permettent parfois d’esquisser un spectacle. Parce que mon parcours personnel prend un tour différent, il en sera autrement à l’occasion de ma carte blanche. Je ne compte pas lui donner d’autre dimension que celle d’une soirée unique. Une soirée que nous passerons ensemble à écouter, regarder et découvrir. Je vous invite à un moment de théâtre éphémère autour d’une pièce contemporaine dont je vous réserve la surprise.
#8.8 Vincent Poirier, 23 mai
Mano Solo
Manooooo !!! Pour cette ultime carte blanche de la saison, j’ai invité des amis de la compagnie à venir chanter et dire ses mots. Notre invité d’honneur s’appellera donc Mano Solo. Mais contrairement à ce qu’il déclare par moment, il ne sera pas seul ce soir-là : y’a Freddy qui vient, mais aussi Christophe, et Olivier, Nico, Natha, et puis Greg, mais y’aura aussi une meuf, Lisa ! Venez ! On va chanter du Mano, dire du Guillaume Appolinaire et peut-être redécouvrir l’immense Jean Ans Arp…
2017/18 _ saison #7
7.1 carte blanche à Amélie Polachowska
Les Murs ont des oreilles de et avec Amélie Polachowska (création sonore) et Pat Gaucher (danse)
Une expérience sonore et sensible atypique dans le noir, un voyage musical et sensoriel, une présence perçue, transformée, amplifiée, une immersion dans le son.
7.2 carte blanche à Pierre-Guy Cluzeau
Paul et le voyage à histoires écrit et mis en scène par Pierre-Guy Cluzeau et Christophe Sigognault
« Deux histoires humoristiques dont un enfant est le héros. Sans rien dans les mains ni dans les poches, le comédien, zigomar dans la tradition de De Funès fait hurler de rire. Les épreuves à surmonter mettent en scène un gros poisson à l’accent belge, un cerf tortillan de la croupe, une fourmi fébrile, un serpent chochotte. Du comique généreux et parfaitement maîtrisé. » Télérama
7.3 carte blanche à Vincent Poirier
Le Principe d’Archimède de Josep Maria Miró
Quatre comédiens réunis pendant une semaine autour de ce texte. Isabelle Quantin, Pierre Delmotte, Damien Avice et Nicolas Rivals plongeront avec le public dans l’ambiance «chlorée» d’une piscine municipale. Un thriller aquatique… Un huit-clos lu dans son intégralité par la compagnie Dodeka.
7.4 carte blanche à Nicolas Rivals et Nathanaël Frérot
Perruche perruche écrit et mis en scène par Nicolas Rivals et Nathanaël Frérot + Vincent Poirier, Isabelle Quantin et Sarah Auvray
C’est l’histoire d’une famille qui se demande où enterrer le grand-père, d’un homme qui rencontre sa femme sur son ordinateur, d’un père qui attend le départ de ses enfants avec impatience. C’est un monsieur et une dame qui voudraient bien avoir un enfant, une femme qui choisit sa nouvelle machine à laver, un type qui se pète la jambe en glissant sur son chien… Perruche Perruche part de l’envie de raconter de grosses bêtises. Pour rire de soi-même, rire de nous tous pour pouvoir rire de tout le monde, et moquer nos petites bêtises, nos grands travers et nos grosses conneries.
7.5 carte blanche à Isabelle Quantin
Se dit d’un animal qui ne s’apprivoise pas facilement d’Isabelle Quantin et Stéphanie Noël
Tout est parti d’un fait divers extrêmement violent. Hors du commun. Puis d’une grâce partielle, enfin d’une grâce totale.
Le point de départ, c’est la succession d’événements qui rend le sujet théâtral. Digne d’une tragédie shakespearienne.
J’ai convoqué Stéphanie Noël pour écrire avec moi et réfléchir sur la pression conjugale, la pression dans une vie à deux qui peut durer toute une vie, la pression qui devient violence, inceste, mépris et abandon…
7.6 carte blanche à Christophe Tostain
Le Mensonge du singe par la compagnie du Phoenix
Ce texte explore le quotidien d’un homme qui a dissous son identité dans une vie standardisée, uniformisée qu’il va tenter de bousculer, d’enrayer, de rompre dans sa monotonie. Peu à peu apparaît alors une étrangeté envahissante, fascinante et inquiétante.
7.7 carte blanche à Louiza Bentoumi
Quelques jours insolemment dada pour tracer des idéogrammes et suspendre des lanternes dans l’air, manier le sabre et l’éventail, chanter, parler, manger chinois, se travestir, être autre.
7.8 carte blanche à Nathanaël Frérot
Que nos vies (aient l’air d’un air parfait) de Nathanaël Frérot avec Sarah Auvray, Delphine Dupin, Nathanaël Frérot, Vincent Poirier, Isabelle Quantin, Camille Regnault, Nicolas Rivals
Un jour, un groupe d’artistes reçoit les clefs d’un lieu de création, derrière un parking, derrière un bowling, dans une petite ville de la Manche. Ils découvrent les villes, les cantons et les bourgs de ce département qu’ils sillonnent. Une autre histoire commence, celle des paysages que l’on recompose, du territoire qui nous change ou nous bloque, des mutations des gens et des endroits. Une histoire qui pourrait devenir la pièce qu’ils joueraient aujourd’hui. Que nos vies (aient l’air d’un film parfait) est une tenta- tive pour raconter quelque chose du monde en racontant des lieux. Dessiner des espaces géographiques et inventer les situations qui y jaillissent. Une aventure en forme de grand road-trip immobile.
7.9 carte blanche à Sarah Auvray
avec Sarah Auvray, Olivier Langlois, Nicolas Rivals et regard extérieur de Stéphanie Noël
Un premier volet radiophonique, un dialogue à trois « voies » :
_ la voix d’Abdulrachid Ahmazaï qui avec son immense générosité nous raconte son chemin jusqu’à nous,d’Afganistan à Coutances
_ les images de Sébastien Soulard, photographe
_ la musique de Sarah Auvray
Un deuxième volet autour d’un texte surprise : mon véritable coup de cœur théâtral de l’année, lu par Nicolas Rivals et Olivier Langlois.
2016/2017 _ saison #6
Salomée Robard vs Laurent X
avec Delphine Dupin, Leila Seri et Léopold Bara
Après la mort de Laurent, Juliette et Anna tentent de reconstituer le puzzle pour éclaircir les mystères autour de la personnalité de cet homme infidèle.
2015/2016 _ saison #5
Delphine Dupin vs la démocratie
avec Salomée Robard, Nathanaël Frérot et Nicolas Rivals
Dans cette carte blanche il sera moins question de faire découvrir (ou redécouvrir) un texte de théâtre aux spectateurs que de leur redonner la parole, le choix, la liberté d’avoir un avis…
Vincent Poirier vs Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams
avec Isabelle Quantin, Julie Héga, Sarah Auvray, Rodolphe Dekowski, Nicolas Rivals et Nathanaël Frérot
Un huis-clos entre quatre personnages qui engagent un combat. Une pièce sensuelle et brûlante qui ne peut pas rester que sur le terrain de la parole… Tennessee Williams a écrit cette pièce comme s’il était sur une corde raide. « Je veux ne pas de la réalité ! Je veux de la magie ! »
Nicolas Rivals vs himself feat. Claires Fontaines
Au mois de janvier 2015, la compagnie Dodeka pose une caravane rouge au coeur du quartier Claires Fontaines à Coutances. Nicolas Rivals y propose des ateliers d’écriture, sur le quartier, sur la solitude, sur la condition féminine, sur la confiance en soi. De cette expérience, Nicolas Rivals tire le texte d’un spectacle que Vincent Poirier mettra en scène en mars. Cette carte blanche est la première lecture publique de ce texte.
Camille Regnault vs Anna De Fries
avec Vincent Poirier, Marc Lemoine et Camille Regnault
Au cours de l’hiver – là c’est Anna qui parle – ces éléments, déplacés, retournés, triturés en tous sens, ont donné plusieurs ébauches de textes. L’histoire d’une rencontre entre un écrivain hédoniste et une idéaliste solitaire amatrice de littérature.
2014/2015 _ saison #4
Vincent Poirier vs Tomas Espedal
avec Sarah Auvray, Vincent Poirier et Isabelle Quantin
Lecture du roman autobiographique Lettre (une tentative) du norvégien Tomas Espedal. Évoquant la perte de sa femme dans une écriture émouvante, pudique et rugueuse, l’auteur opère un retour en arrière sur une vie pleine d’à-coups, afin d’affronter un présent bouleversé.
Nicolas Rivals vs Georges Feydeau
Plusieurs membres de la compagnie (professionnels comme amateurs) se réunissent pour lire à voix haute un acte de l’une des pièces majeures du maître du vaudeville : La Dame de chez Maxim de Georges Feydeau. Il met en place des situations simplissimes qui deviennent très vite impossibles et les personnages sont toujours les architectes de leurs cauchemars, les artisans de leurs chutes.
Isabelle Quantin vs Neuf petites filles de Sandrine Roche
avec Sarah Auvray, Delphine Dupin, Stéphanie Noël et Salomée Robard
Quatre filles jouent à s’inventer des histoires. À tour de rôle, elles livrent leurs souvenirs plus ou moins romancés, leurs craintes et leur vie rêvée. Avec une langue épurée, comme taillée au cutter, Sandrine Roche propose un univers très personnel, qui prend en compte les corps et les sensations.
Nathanaël Frérot vs himself
Pour Nathanaël Frérot, au départ il y un livre Naïf, super ! d’Erlend Loe, l’histoire d’un jeune homme qui, au jour de ses 25 ans perd une partie de croquet contre son grand-frère. Dès lors, le sens de sa vie lui échappe. Un livre simple, sur des choses compliquées. Puis Loe sort un autre livre, Jours tranquilles à Mixing Part où un couple norvégien en voie de désintégration loue une maison de vacances en Allemagne. Il voudrait en parler aussi.
Camille Regnault vs la page blanche
Mes ingrédients : 1° L’envie d’écrire. Des histoires de femmes. Face à un désordre des choses. Celui du monde ou celui de leur monde intérieur. De cassures. Ceci est un premier essai et il est aussi imparfait que mes personnages. 2° Je convoque également les textes d’auteures qui m’ont nourrie. 3° J’ai invité deux comédiennes, deux femmes. 4° Toutes les trois nous allons inventer la recette que nous vous servirons.
2013/2014 _ saison #3
L’Empereur c’est moi de et avec Hugo Horiot
mise en scène de Vincent Poirier
En 2012, les éditions L’iconoclaste publient L’empereur c’est moi, le récit d’une enfance en autisme par Hugo Horiot. Ce livre est une histoire vraie. L’autoportrait d’un enfant en colère, atteint d’autisme Asperger.
Le bruit des os qi craquent de Suzanne Lebeau
mise en scène de Luc Cognet _ compagnie Prométhée
Elikia est une enfant ordinaire qui a vu sa vie basculer du jour au lendemain. Enlevée à sa famille, elle devient enfant soldat.
Comment grandir quand les repères s’effacent devant une brutalité quotidienne sans espoir ?
Peau de bête(s) d’Olivia Le Divelec _ compagnie 10 Doigts
spectacle bilingue français/langue des signes française
C’est la fin de l’enfance, c’est l’explosion du cocon familial, ce sont les espoirs et la dureté de la vie adulte, c’est choisir sa vie. C’est le conte de l’indépendance.
Intr[a]cte de Benjamin Audouard _ compagnie le DadA Noir
C’est un cimetière de l’absurde, une éclaboussure de souvenirs, une projection d’instants de vies jetées où l’on y croisera une fille de joie, un bonimenteur-marchand de sable, un monsieur déloyal, un vagabond enfantin et un agent-superviseur. Au fond, un adulescent qui ne veut pas laisser tomber son imagination et rentrer dans son tombeau.
J’espérons que je m’en sortira d’Isabelle Quantin _ compagnie Dodeka
Adapté et réalisé à partir d’authentiques rédactions d’enfants napolitains recueillies par leur instituteur, le spectacle J’espérons que je m’en sortira nous fait entendre le regard naïf, parfois cruel mais aussi plein d’humour, d’enfants sur le monde qui les entoure. Un spectacle pour que les adultes se rappellent comme c’est parfois difficile de grandir, et pour que les enfants rient de leurs propres peurs.
La Petite Danube de Jean-Pierre Cannet
mise en scène d’Isabelle Quantin et avec Camille Regnault _ compagnie Dodeka
Anna raconte son enfance dans la maison de garde-barrière de son père, quelque part en Europe Centrale durant la seconde guerre mondiale.
Elle est « née le jour où les violons se taisent » – ce jour où on a chassé les voisins Roms.
2012/2013 _ saison #2
Continuum _ compagnie Silenda (danse)
conception et chorégraphie _ Laura Simi et Damiano Foà
création au Centre Chorégraphique National de Caen Basse-Normandie
« Ce n’est pas l’âge qui compte mais la fraicheur du geste. »
Mythe : l’histoire de Thésée de Nicolas Rivals _ compagnie Dodeka
avec Nathanaël Frérot et Camille Regnault
Tout le monde connait l’histoire de Thésée. Tout le monde sait que c’est Thésée qui tua le Minotaure et ressortit vivant du Labyrinthe.
Mais avant ? Mais après ?
Je suis un épisode de Nathanaël Frérot _ compagnie Dodeka
avec Delphine Dupin, Guillaume Hincky et Salomée Robard
Il s’agît d’une femme. Elle se prénomme Hélène. Elle a 7 ans, 80 ans ou 23 ans. Elle vit en 1960, 1983 ou en 2002. Elle a eu beaucoup de rêves, elle a renoncé à nombre d’entre eux, il lui en reste encore des tas. Hélène est mariée, divorcée, vieille fille, collectionne les amants.
La quête des Chevaliers Cartons d’Étienne Didion _ compagnie La Théière
avec Laura Deforge, Étienne Didion, Xavier Hurel et Arthur Thibault-Starzyk
Un beau chevalier blanc s’aventure dans le royaume des flammes pour sauver sa reine et la ramener au roi des fleurs. Il rencontre un jeune homme qui, par fascination, décide de devenir chevalier et de le rejoindre. Leur route périlleuse est parsemée d’obstacles…
Liliom de Ferenc Molnár
mise en scène de Vincent Poirier _ compagnie Dodeka
Dans une fête foraine, une jeune domestique, Julie, tombe amoureuse d’un bonimenteur, Liliom.
Liliom, c’est l’histoire d’une vie ordinaire, d’un homme constamment au bord d’un précipice. Une histoire simple et tragique, une légende de banlieue.
2011/2012 _ saison #1
Nous n’achèterons pas de machine à laver de et avec Isabelle Quantin _ compagnie Dodeka
accompagnement et mise en scène de Nicolas Rivals
Précipice, jeune artiste peintre, se remet en question le jour de son premier vernissage. Sa mère, son mari, sa boulangère, et Précipice elle-même seront retournés par une trentenaire en mal d’amour…
Le Bal des abeilles de et avec Romain Puyelo et Armelle Gouget _ compagnie Dhang Dhang
Mathilde et Raymond préparent leur émission de Radio Nature spéciale « abeilles ». Ils attendent l’arrivée de l’apiculteur local pour l’interviewer, en vain. Au courrier du jour arrive un mystérieux manuscrit de sa part. Nos deux journalistes vont alors adapter ces écrits sous forme de feuilleton radiophonique, et ainsi jouer la vie des abeilles en direct.
N’interromps jamais un rêveur d’Henri Michaux
avec Olivia Le Divelec, Caroline Husson, Sarah Auvray _ compagnie 100 voix
Une composition d’univers divers où se mêlent langue des signes, voix, mouvements et composition sonore. Pour donner à voir et à entendre des morceaux de rêves, cadrés et encadrés de mots, de signes et de sons, qui vivent et vibrent autrement.
Biberkopf inspiré Berlin Alexanderplatz d’Alfred Döblin
adaptation de Stéphanie Noël et mise en scène de Vincent Poirier _ compagnie Dodeka
Franz Biberkopf, ancien ouvrier, ancien proxénète, ancien détenu, cherche à reprendre pied dans un Berlin qu’il ne reconnaît plus. La tragédie se joue ici avec cinq comédiens, et deux musiciens.
Manhattan Medea de Dea Loher
mise en scène de Lila Janvier _ compagnie 7ème sol
Une relecture de la tragédie antique de Jason et Médée. Les deux amants sont ici deux immigrés clandestins dans le cœur de la mégapole New-Yorkaise. Une interrogation sur la question du pouvoir, de la réussite sociale et du sacrifice.
Mythes _ création collective de la compagnie Dodeka
Affrontant des créatures féroces et des ennemis implacables, Thésée, par ses nombreux exploits a marqué, la Grèce antique. C’est lui qui vint à bout du Minotaure et sortit vivant du Labyrinthe. Pourtant qui aurait pu deviner que ce petit garçon élevé seul par sa mère aurait sa place aux côtés d’Héraclès, Ulysse ou Jason, et serait un jour un grand roi ?
Les sources d’Elle de Sarah Auvray _ compagnie Dodeka
spectacle musical pour une comédienne, un comédien et un musicien
Sur le chemin d’Elle, il y a le vide et l’angoisse d’une ultime nuit. Quand le corps est à bout, au bout… Un incendie met le feu à la maison et Elle peut reconstruire sur des cendres. Sur le chemin d’Elle il y a toutes ces mémoires, suspendues à son souffle, à ses yeux.